Pour ceux qui suivent les discussions sur les habitats légers (yourtes, tiny, cabanes, etc.), il n’y a pas vraiment de nouvelle loi sortie en 2025, mais plutôt un durcissement de l’application des textes déjà existants.
La loi ALUR reste la base : elle reconnaît les habitats démontables (yourtes, roulottes, tiny-houses) quand ils sont utilisés comme résidence principale. Mais aujourd’hui, les communes contrôlent de plus près le zonage des terrains, surtout en zone naturelle ou agricole.
Les installations temporaires (moins de 3 mois) restent tolérées, mais dès qu’on dépasse cette durée ou qu’on veut y vivre à l’année, il faut une déclaration préalable, voire un permis selon la surface. Les terrains non constructibles ne peuvent toujours pas accueillir d’habitat permanent, sauf si le PLU prévoit un petit secteur spécial (STECAL).
En 2025, plusieurs articles rappellent aussi que les habitats légers en forêt ou en zone N sont plus surveillés : tout dépend du PLU et du classement du terrain (EBC, risques, etc.).
Donc rien de révolutionnaire côté loi, mais les contrôles se resserrent et les mairies sont plus vigilantes. Avant d’installer quoi que ce soit, mieux vaut aller voir le service urbanisme pour vérifier ce qui est autorisé sur le terrain.
La loi ALUR reste la base : elle reconnaît les habitats démontables (yourtes, roulottes, tiny-houses) quand ils sont utilisés comme résidence principale. Mais aujourd’hui, les communes contrôlent de plus près le zonage des terrains, surtout en zone naturelle ou agricole.
Les installations temporaires (moins de 3 mois) restent tolérées, mais dès qu’on dépasse cette durée ou qu’on veut y vivre à l’année, il faut une déclaration préalable, voire un permis selon la surface. Les terrains non constructibles ne peuvent toujours pas accueillir d’habitat permanent, sauf si le PLU prévoit un petit secteur spécial (STECAL).
En 2025, plusieurs articles rappellent aussi que les habitats légers en forêt ou en zone N sont plus surveillés : tout dépend du PLU et du classement du terrain (EBC, risques, etc.).
Donc rien de révolutionnaire côté loi, mais les contrôles se resserrent et les mairies sont plus vigilantes. Avant d’installer quoi que ce soit, mieux vaut aller voir le service urbanisme pour vérifier ce qui est autorisé sur le terrain.